Les lèvres enserrant son sexe je suis totalement abandonnée à sa prise de contrôle et mes yeux brillent d'une gourmandise avide. Je vibre et c'est aussi indécent que fou de douceur de le voir ainsi sombrer avec moi. Quand il me dit qu'il m'aime, je ne peux retenir un gémissement conquis. L'extase monte, les frontières entre plaisir et abandon se brouillent, et je m'abandonne dans la tourbillon passionné de nos désirs entrelacés. Les murmures amoureux, les gémissements complices, tout devient une symphonie érotique qui danse dans l'air saturé de passion. Les mots d'amour se mêlent aux soupirs d'extase, créant une alchimie envoûtante où chaque sensation est une note dans la partition enivrante de notre intimité partagée. Et quand il m'ordonne de me toucher, je crois que ça m'achève. Mes doigts viennent âprement plonger en moi et j'ai un petit sursaut tant le plaisir me ravage.

Mon corps, vibrant au rythme de son plaisir, est une forme d'offrande que je lui fais. Ses mains, exprimant sa force, autant que sa douceur, par leur poigne, dessinent des arabesques de désir sur ma peau. Mes émotions se mêlent, s'entremêlent, et dans ce moment suspendu, je peine à ne pas gémir sans discontinuer tant la situation m'excite. La douceur de mon homme caresse mon âme, la bestialité de son étreinte ravageant mon corps de plaisir. Mes yeux dévorent les siens, écho muet de cet amour partagé qui repousse les limites des convenances et du réel. Je suis sienne... ce simple fait, fait mon bonheur et dans ce partage intense j'ai envie de le lui crier. Je ne peux pas le faire avec des mots, mais mon corps le lui chante, des ondulations frénétiques de mon bassin contre la pulpe de mes doigts à la violence sensuelle de ma langue et aux palpitations de ma gorge. J'ai les yeux pleins de larmes, mais il est impossible de douter qu'elles sont clairement de félicité.

Quand il se recule c'est moi qui vient chercher les profondeurs de ma gorge en me tendant vers lui. La vie s'étend devant nous, complice silencieuse de cette étreinte et de biens d'autres et je rêve de toujours. La passion brûlante gravée sous ma peau par la beauté sensuelle de l'homme de mes rêves autant que de mes jours. Mon ami, mon amant, mon amoureux... mon homme. Mon Lukas. Il est l'éternité éphémère, l'avenir et le passé, il est tout ce que je désire, aussi fou que ça paraisse, aujourd'hui et à jamais.

Transcendée de désir je ne réfléchis plus, je me contente de ressentir et d'exprimer le feu qui brule dans mon ventre par l'intensité de mes lèvres. Je le dévore d'attentions, le caresse de la langue, lutte pour supporter la taille de son sexe au fond de ma gorge. Les bruits aqueux et salaces que cela produit achèvent de m'enfiévrer et je me trouve rapidement à avancer sur les genoux pour chercher encore et encore à le prendre au creux de ma bouche.

Mes doigts dansent contre mon intimité, me tirant des soupirs qui s'étouffent contre sa virilité et je vibre bientôt à l'unisson de mon homme. Dans l'intimité feutrée de cette cabane hors du monde le désir brûle entre nous, vibrant dans l'air chargé d'électricité. Je suis à genoux devant l'homme que j'aime, mon souffle chaud caressant sa peau, mes mains explorant chaque courbe de son corps comme du mien avec une tendresse passionnée. Ses yeux, empreints de désir, me fixent avec une intensité hypnotique, capturant mon âme dans un tourbillon de passion et d'émotion. Je vibre, je suffoque, l'amour me rend ivre, la passion achève de me malmener de la plus douce des manières.

Le contact de mes lèvres contre sa peau déclenche des frissons qui parcourent tout son être, je cherche à éveiller en lui des sensations brûlantes et enflammées. Mes baisers sont une forme d'adoration silencieuse. Chaque soupir, chaque gémissement qui s'échappe de ses lèvres attise le feu qui brûle déjà en moi, alimentant la flamme du désir qui nous consume tous les deux. Ce qu'il est beau ainsi, s'abandonnant à la passion, prenant le contrôle de ma tête.

J'ai la sensation délicieuse de sentir dans ses gestes une urgence grandissante. Je sens son souffle devenir plus erratique, ses doigts se crisper dans mes cheveux, m'encourageant à poursuivre notre danse enivrante. Il est tout proche de la délivrance passionnelle et je regorge d'envie, enroulant ma langue, creusant les joues, les yeux pleins de larmes plantés dans les siens, étincelants d'une intensité brûlante. Mes lèvres effleurent la peau sensible de son ventre, un frisson parcourant mon échine à chaque contact, à chaque caresse.

Le désir est palpable, vibrant entre nous comme une force irrésistible qui nous pousse à nous abandonner l'un à l'autre, à nous perdre dans les délices enivrants de la passion. Chaque mouvement, chaque sensation est empreint d'une intensité presque insoutenable, d'une fébrilité qui fait monter en moi un torrent d'émotions indomptables. Il me retire son sexe et quelques mouvements de poignets viennent le faire exploser en un cri rauque. Son plaisir percute mon visage et je le dévore des yeux, bouche ouverte langue tendue alors que mes doigts écrasent mon bouton de plaisir et m'entrainent à sa suite.

Et alors que je me donne à lui, corps et âme, je sens le monde entier s'effacer autour de nous, ne laissant place qu'à l'étreinte enflammée de nos deux âmes fusionnées dans l'extase du désir. Dans cet instant, il n'y a plus rien d'autre que lui et moi, unis dans ce moment torride qui défie le temps et l'espace. C'est un moment de pure communion, de fusion parfaite entre deux êtres épris de passion et d'amour, un instant figé dans l'éternité où le désir brûle plus ardemment que jamais. Ma langue vient délicatement récolter sa jouissance sur mes lèvres et je pose ensuite un O parfait contre son extrémité velouté pour lui soutirer les ultimes gouttes de jouissance. Je suis couverte de son extase et ça met comme un comble à la mienne.

Quand j'abandonne cette caresse c'est pour me redresser et reculer lentement sans le quitter des yeux. -"Je vais être obligée de trouver la salle de bain." La tendresse se mêle à l'excitation dans le creux de ma voix et je crois qu'il peut lire tout l'amour du monde dans mes yeux. -"Tu m'aides à me laver mon amour?" Petit froncement de nez et j'ajoute. -"Comme ça tu pourras recommencer." Je ne rougis pas, au contraire, j'ai adoré ce moment de folie et je ne m'en cache pas.

J'aime voir la passion s'allumer dans ses yeux, ce moment précis où sa raison s'éclipse au profit de la passion la plus brute et animale qui soit. C'est diablement excitant et l'avoir vu ainsi, décharger son plaisir sur mon visage, c'était totalement fou. La chaleur de nos corps se mêle à l'atmosphère paisible de la cabane rustique, nichée au cœur de la nature sauvage qui nous entoure. Lukas et moi, isolés du monde, nous avons trouvé refuge dans ce havre de paix où seuls résonnent le chant des oiseaux et le murmure du vent dans les arbres. Un havre de paix que je risque de faire basculer en paradis de la luxure, je crois même que j'ai déjà commencé.

Après avoir partagé nos étreintes passionnées, nos souffles apaisés se mêlent dans un ballet harmonieux. Nos peaux encore enfiévrées se rafraîchissent lentement sous la caresse tendre de la brise. Je l'attire à ma suite, prenant tendrement sa main et le guide vers la salle de bain. Mais alors qu'on avance, il m'agrippe soudain, me serrant contre lui avec une intensité troublante. Il se serre contre mon dos, y appose son front et mes mains viennent se poser contre ses avant-bras qui m'enserrent.

Il me fait une déclaration incroyable et ses mots résonnent dans l'air, chargés d'une sincérité bouleversante qui me transperce le cœur. Je sens le poids de ses craintes, le fardeau de ses désirs inassouvis qui pèsent sur ses épaules. Mais dans sa voix, je lis aussi l'amour infini qui nous unit, la promesse d'un avenir où nos âmes fusionnent en une seule.  Je caresse doucement sa peau, effleurant du bout des doigts les contours de ses muscles. -" Lukas, mon amour... " ma voix tremble légèrement, empreinte d'une tendresse infinie. -"Tu ne me perdras jamais, jamais. Je suis à toi, corps et âme, liée à toi pour l'éternité. " Je souris et ferme les yeux. -"Te perdre ce serait pire que la mort."

Je me libère de son emprise pour me tourner vers lui, plonge mon regard dans le sien, y cherchant la lumière qui illumine mon monde, la flamme qui brûle dans le sanctuaire de mon cœur. -"Et crois-moi, Lukas, tes désirs ne me font pas peur, ils m'excitent, ils réveillent en moi une passion insoupçonnée. " L'indécence de son plaisir étalé sur mes traits rajoutent à celle des mots que je prononce, mais quelle importance? Je n'ai rien à cacher ! Pas à lui, pas avec lui.

Je pose délicatement ma main sur son torse, sentant les battements frénétiques de son cœur sous ma paume. -"J'ai envie d'explorer chaque recoin de ton être, de partager avec toi chaque fantasme, chaque rêve jusqu'alors inavoué. Tu es mon monde, Lukas, et je veux découvrir chaque nuance de cette union sacrée que nous avons tissée ensemble. "

Un sourire timide étire mes lèvres, illuminant mon visage d'une douceur angélique qui contraste forcément avec ce que je dis. Dans ses yeux, je lis l'amour indéfectible qui défie les frontières du temps et de l'espace. Et dans cet instant suspendu, je ne peux que sourire et caresser doucement son torse. J'aimerais me fondre dans ses bras et l'embrasser, mais je suis très consciente d'être souillée et qu'il n'aimerait surement pas ça, alors je récupère sa main et tire vers la salle de bain. J'allume l'eau de la douche et me glisse en dessous, offrant mon visage à l'onde tiède, rinçant les reliefs de son orgasme avant de venir me lover contre lui. Nous nous enlaçons tendrement, nos corps se fondant comme s'ils étaient faits l'un pour l'autre, NON, parce qu'ils sont faits l'un pour l'autre.

Le voir aussi perdu et perplexe, à me contempler en cherchant où déposer ses lèvres, ça me fait rire. Bien masculin comme problématique. Je l'attire à ma suite vers la salle de bain, rince mes traits et il me rejoint sous l'eau. Sa bouche rejoint la mienne pour un baiser aussi ardent qu'il peut être doux. Cette dichotomie suprême entre sauvagerie et tendresse éperdue, je crois que c'est la plus belle magie païenne.

Sous les gouttes d'eau tiède qui caressent ma peau, je me sens enveloppée par une douceur ineffable, une sensation de plénitude qui m'envahit alors que je me blottis contre lui. Nos corps sont encore empreints de l'étreinte passionnée qui nous a liés quelques instants auparavant. Il est là, à mes côtés, son souffle calme et régulier résonnant dans l'air chargé d'émotion. La vapeur flotte autour de nous, comme pour préserver cet instant, le suspendre dans le temps.

Je sens ses bras forts se resserrer autour de moi, me tirant encore plus près de lui. Son étreinte est une promesse silencieuse, un serment d'amour murmuré dans le langage universel des corps entrelacés. Chaque battement de son cœur résonne contre ma peau, un rythme hypnotique qui m'apaise et me captive à la fois. Mon cœur à gauche, les palpitations du sien à droite et je me retrouve totalement résonnante de l'amour qui nous lie.

Dans cette intimité partagée, les mots semblent superflus. Ils se dissipent dans l'air chargé d'émotions, incapables de capturer la profondeur de ce que nous ressentons. Nos silences sont des dialogues muets, des échanges d'âmes qui se comprennent sans avoir besoin de se parler. Je lève les yeux vers lui, plongeant dans les profondeurs de son regard. Il y a tant de vérités dans ces yeux, tant de tendresse et de passion, je lui ai dit qu'il est mon monde et ce n'était pas du tout à la légère. Ces yeux sont le reflet de son âme, un miroir dans lequel je me perds avec délice. Je lui souris, un sourire empreint de gratitude et d'admiration.

Sous la cascade d'eau qui nous enveloppe, nos peaux se fondent, se confondent, effaçant les frontières entre lui et moi. Nous sommes un, dans cet instant éphémère où le temps semble suspendu, figé dans une étreinte éternelle. Je laisse mes doigts parcourir chaque centimètre de sa peau, explorant les contours de son corps comme si je découvrais un territoire inconnu, le lavant avec douceur et tendresse.

Peut être que le monde continue de tourner à l'extérieur de cette bulle d'intimité que nous avons créée, mais je m'en fiche totalement, dans ses bras, je me sens enfin complète, comblée. Ce moment de grâce, c'est lui qui le rompt, mais sans le faire éclater, en le prolongeant par son sourire, par le rire qui lui échappe alors qu'il se tire de la salle de bain totalement nu en annonçant ne plus porter de vêtements d'ici la fin des vacances. Je me marre à mon tour, attrape une serviette pour me sécher les cheveux et lui lance. -"Deal Campbell ! J'en suis !" Nouvel éclat de rire et je le rejoins dans la cuisine. Il me regarde avec une douceur qui me fait fondre et je claque ses fesses avant d'attraper de la vaisselle et de nous dresser une table. Je choisis de le faire dehors, qu'on puisse profiter de la terrasse panoramique et ceci fait je reviens pour l'aider. -"Ooooh attend!" Illumination selon Zoey et je pars comme une flèche pour retrouver nos affaires abandonnées en arrivant et attraper mon portable. J'enclenche l'appel, en visio, juste au moment où je me plaque contre son dos, mon ventre contre ses fesses, dissimulant ma nudité au visage souriant de ma mère. -"Hey mamaaan ! On est bien arrivés." Bisou dans le cou de mon amoureux, téléphone brandit bien haut et main taquine qui se glisse sur son ventre entre sa peau et le tablier. Je crois que je suis d'humeur taquine.

Le téléphone glissé dans sa main je me serre contre son dos, taquine et enjouée. Je frotte les pointes dardées de mes seins et ça me tire un frisson et un petit couinement presque imperceptible. La façon qu'il a de se tendre à l'opposé de mes doigts me fait sourire et sentir ses fesses se plaquer contre moi, c'est torride. Une bouffée de chaleur et je ferme les yeux, je prends une grande inspiration de son parfum et ma main se fait plus enhardie alors même qu'on découvre toute la famille réunie.

Je viens doucement caresser sa verge, avant d'y refermer les doigts, excitée de le sentir durcir sous mes caresses. -"Oh oui il fait très chaud !" Mon ton ne laisse rien paraître, alors même que mes doigts s'animent et que je commence à le masturber lentement. Vous avez fait bonne route? Vous êtes bien installés les loulous ? Mon père, à qui je souris en hochant la tête, alors que mon poignet s'active plus franchement. Putain ça me monte à la tête. -"Je vous laisse avec Lulu !" Sourire et j'embrasse son dos, avant de me laisser glisser hors de vue de nos parents.

Je relève les yeux sur lui, une langue taquine flirtant entre mes lèvres. Je m'impose doucement entre ses jambes, sur les genoux, soulevant le tablier pour venir refermer la bouche en un O parfait contre sa queue. Je pousse un long gémissement étouffé et mes doigts viennent pincer mon sein avant de glisser contre mon ventre. Je fouaille mon intimité sans douceur, venant accabler mon clitoris à mesure que je le prends en bouche et le suce avec une envie débordante. Chaque fois que je suis en présence de mon amoureux, mon cœur bat plus fort, mes sens s'aiguisent et une sensation d'excitation indescriptible m'envahit. C'est comme si chaque moment passé ensemble était une épopée d'émotions intenses et palpitantes. Je suis incapable de me contenir, je n'en ai surtout pas du tout envie. J'aime ce jeu entre nous, j'aime le rendre fou, ça ajoute un piment délectable à nos échanges. Vous avez prévu quoi de beau aujourd'hui alors ? Le pauvre, pas sure qu'il parvienne à répondre, alors que je le suce avec une passion folle.

Délicieuse sensation que de le prendre en bouche ainsi, de le sentir encore plus dur à mesure que le plaisir prend possession de son corps. Je le contemple d'en dessous comme je peux, dérangée par ce tablier. Je me fous complètement de la position inconfortable dans laquelle je le plonge et finalement je crois que lui aussi puisqu'il repousse le tablier pour empoigner mes cheveux et pousser sa queue dans ma gorge. Bordel ce que j'aime quand il fait ça, quand il se montre ainsi, sauvage et dirigiste. C'est fou comme ça me met dans tous mes états.

La tête calée en arrière je ne peux pas bouger, simplement offerte à la profondeur qu'il m'impose essayant vainement de retenir les bruits salaces qu'il génère. Je ne comprends pas un traitre mot de ce qu'ils se racontent bien trop transie d'envie pour réussir à réfléchir. C'est quand il m'appelle avec insistance que je réalise que ma mère veut me parler. Je me pousse en avant, pour le prendre lascivement au creux de ma gorge avant de l'abandonner et de me décaler pour donner l'impression que je reviens d'une autre pièce. J'attrappe le téléphone et je suis obligée de filmer mon visage, en tenant le téléphone assez près pour éviter qu'ils ne découvrent que je me promène nue. Pas sure qu'ils seraient tant choqués... je crois que je les ai habitués à force au chalet... mais bon, on ne va pas tenter le diable.

ça va ma puce? Tu as les yeux pleins de larmes. J'ai un petit hoquet, sans bien savoir si c'est à cause de ce qu'elle vient de dire ou à cause de la sensation de son sexe qui vient de ramper entre mes fesses. C'est tellement excitant... d'autant plus... maintenant que... que je lui ai livré mon envie qu'il... qu'il me prenne de cette façon. J'ai un petit soupir et je souris en essayant d'avoir l'air le plus naturel possible. -"Oh oui ça va... vraiment bien. Peut être une petite allergie ?" Je me frotte les yeux et l'écoute me recommander de mettre de la crème solaire et de faire attention alors que les mains de mon amoureux s'activent et que je me cambre à sa rencontre. Diabolique Lukas Campbell ! Voilà qui est nouveau et foutrement excitant. Mes fesses cherchent à s'écraser contre son sexe et je me sens toute humide contre ses doigts au creux de moi. Rappelle moi Zoey vous rentrez quand? Je souris de nouveau et ferme les yeux quelques dizième de secondes de trop avant de les rouvrir en même temps que ma bouche qui s'arrondit. Je contiens le gémissement de plaisir par je ne sais quel miracle. -"Hier. Ou... ou... avant hier ?" Elle ouvre des yeux interloqués et me demande si je suis sure que ça va ce qui me fait pousser un petit rire. -"Oui je... oh oui ça va !" Le "oh oui" a été un peu trop intense et la voilà qui fronce les sourcils en me regardant d'un air inquiet. -"On se rappelle MaMaaan ?" Je ne tiens plus, mon sexe s'inonde à mesure qu'il me caresse et cette façon qu'il a de pincer mon téton me rend totalement folle. D'accord ma puce, mais essaie de te reposer... tu as l'air un peu... fatiguée? Un grand oui de la tête et je lui envoie un bisou, attendant que chacun ait pu nous dire son petit mot d'aurevoir pour raccrocher et balancer mon téléphone sur le plan de travail pour me retourner et venir dévorer la bouche de Lukas. -"Mmm je crois que je vais devoir me venger." Mauvaise foi, puisque c'est moi qui ait commencé... mais ça on s'en fout, non ? -"Vous êtes prié d'éteindre le brasier que vous venez d'allumer monsieur Campbell !" Ceci dit avant de l'embrasser et de me tourner de nouveau pour venir écraser mon buste sur le plan de travail tout en écartant les jambes et en ondulant doucement des hanches. -"Baise moi fort." Je crève d'envie, je me sens complètement survoltée et mes mains viennent fermement saisir mes fesses pour les écarter ostensiblement. Je crois que je ne peux pas faire beaucoup plus clair comme message. J'ai envie de lui et j'ai une idée plus que précise en tête du comment...